, REPLAY. Législatives 2024 : pas d’accord entre le RN et Reconquête, débâcle chez les Républicains… revivez les temps forts de la journée

REPLAY. Législatives 2024 : pas d’accord entre le RN et Reconquête, débâcle chez les Républicains… revivez les temps forts de la journée

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« C’est moi qui mènerai cette campagne » pour la majorité affirme Attal

« C’est moi qui mènerai cette campagne » des élections législatives pour la majorité, a annoncé Gabriel Attal sur TF1. Le Premier ministre affirme qu’il mènera la campagne « en tant que chef de la majorité, Premier ministre, avec l’identité qui est la mienne, c’est-à-dire toujours écouter les Français, même quand ça ne fait pas toujours plaisir ce qu’on entend, essayer de prendre des décisions concrètes, régler les problèmes », avec des « priorités » : « les grands services publics que sont la santé, l’école, le pouvoir d’achat et l’emploi, l’écologie » .

Bardella annonce un « accord » entre le RN et LR

« Il y aura un accord entre le Rassemblement national et Les Républicains » pour les législatives, avec « des dizaines » de députés LR qui seront « investis » ou « soutenus » , a annoncé mardi Jordan Bardella lors d’un entretien au JT de 20 H de France 2.

« J’ai lancé un appel à toutes les formations politiques patriotes autour du Rassemblement national qui veulent venir contribuer à cette majorité de redressement » et « je me félicite qu’Eric Ciotti y ait répondu favorablement », a poursuivi le président du RN en disant avoir « évidemment échangé » avec le patron de LR et « continuer de le faire dans les prochaines heures, et sans doute un peu plus tard dans la nuit ».

Pour Bayrou, les législatives ne sont pas un référendum « pour ou contre Macron »

Les élections législatives anticipées ne sont « pas un référendum sur le président de la République » mais doivent permettre de « faire barrage aux extrémismes qui menacent des deux côtés » , a estimé le président du MoDem François Bayrou. « La question, c’est : est-ce que nous acceptons de voir l’idée de France dévoyée ? » , a-t-il déclaré sur BFMTV.

« D’abord, le 8 juillet , il faut éviter le pire » et « faire barrage aux extrémismes qui menacent des deux côtés » , a résumé le maire de Pau, allié d’Emmanuel Macron. L’alliance avec le Rassemblement national prônée par Éric Ciotti est « un tremblement de terre qui était prévisible depuis longtemps » , a-t-il jugé. « Je suis absolument certain qu’il y a des responsables gaullistes de cette famille politique-là qui ne vont pas se laisser entraîner » . Pour autant, « je ne crois pas qu’il faille imaginer ralliement et récupération » à la majorité, a ajouté le maire de Pau.

Par ailleurs, « ce n’est pas le président qui va mener cette campagne » , a assuré Bayrou alors qu’Édouard Philippe, autre allié du chef de l’État, venait de déclarer qu’il n’était « pas sûr qu’il soit complètement sain que le président de la République fasse une campagne législative » , à la veille d’une conférence de presse de Macron. « Je ne donnerai pas un millimètre à la division. Je ne participe pas à ce jeu-là » , a dit le président du MoDem.

Eric Ciotti « tue ce qu’il restait de LR » estime Catherine Vautrin

Eric Ciotti « est en train de tuer ce qu’il restait des Républicains » , juge Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, sur franceinfo ce mardi après l’annonce du patron des Républicains d’une alliance avec le Rassemblement national.

« C’est une digue énorme qui vient de sauter. Franchement, c’est dramatique d’en arriver là » , souligne la ministre qui se dit « effarée »

Bruno Le Maire met en garde contre une possible « crise de la dette » en cas de victoire du RN

Le ministre de l’Economie et des Finances dénonce le programme économique du Rassemblement national qui n’est « pas mieux » que celui de la Nupes et qui pourrait, selon lui, mener la France à une crise de la dette. « Nous n’avons tout simplement pas les moyens de financer les dizaines de milliards d’euros supplémentaires de Marine Le Pen » , fustige-t-il.

Le RN à 35% lors des législatives selon un sondage

Selon un sondage Ifop-Fiducial présenté ce mardi, le Rassemblement national continuerait d’avoir le vent en poupe avec 35 % d’intentions de vote pour le premier tour des législatives le 30 juin prochain. La gauche divisée obtiendrait un meilleur score que la gauche unie sous l’étiquette du Front Populaire (32 % contre 25 % si elle est unie). En ordre dispersé, le Parti socialiste obtiendrait 13 % des suffrages, La France insoumise 11 %, les Ecologistes 6 % et le Parti communiste 2 %.

Quant à la majorité présidentielle (Renaissance, Modem et Horizons), elle ferait un meilleur score (18 %) face au « Front populaire » que face à une gauche divisée (16 %). Dans les deux cas de figure, elle ferait un meilleur score qu’aux européennes (14,6 %). Enfin, le parti Reconquête d’Eric Zemmour obtiendrait 3,5 à 4 % des suffrages..

Édouard Philippe tend la main aux LR qui refusent une alliance avec le RN

Édouard Philippe a qualifié ce mardi l’alliance entre Les Républicains et le Rassemblement national de  » consternante » et « contre-nature » , a-t-il déclaré à BFMTV.

L’ancien Premier ministre dit « tend re la main » aux élus LR opposés à cette alliance avec l’extrême droite, pour éviter l’ « immobilisme » du pays.

« Il est assez évident que tous ceux qui veulent me rejoindre sont les bienvenus » , a-t-il répété, appelant ces derniers à rejoindre le camp présidentiel afin de créer une « nouvelle majorité » . Il a notamment estimé que deux priorités s’imposeront après ces élections : « Remettre de l’ordre dans les comptes publics » , et la lutte contre l’insécurité.

Édouard Philippe a par ailleurs qualifié de  » farce » l’union des partis de gauche, rappelant les divergences existantes en matière de « politique étrangère ou encore sur l’Union européenne ».

LFI dénonce l’alliance entre LR et le RN

« L’alliance annoncée entre Les Républicains et le Rassemblement national marque un tournant dans l’histoire de notre pays » , fustige le nouveau front populaire dans un communiqué, relayé en début d’après-midi par Manuel Bompard.

« Elle est malheureusement la consécration de la dérive continue de l’orientation politique de la droite française vers un projet xénophobe et profondément réactionnaire, en particulier depuis la nomination d’Eric Ciotti » , à la tête du parti de droite, est-il écrit. U

Nouvelle manifestation contre l’extrême droite à Paris

Un nouveau rassemblement contre l’extrême droite aura lieu ce soir à Paris à partir de 20 heures, place de la République. La manifestation baptisée « la Jeunesse emmerde le Front national » , est organisée par plusieurs organisations de gauche.

Clément Beaune candidat à sa réélection 

Clément Beaune, élu député de la 7e circonscription de Paris en 2022, annonce être candidat à sa réélection,  » librement « , se détachant donc de son étiquette Renaissance.

Jordan Bardella fait machine arrière

Le chef du RN a indiqué qu’en cas de victoire lors des législatives et d’accession au pouvoir, son camp n’était pas certain d’abroger la réforme des retraites, alors qu’il affirmait pourtant le contraire ce lundi, révèle Libération .

Pas d’accord entre le RN et Reconquête

Marion Maréchal déplore « un changement de position » du RN qui « refuse le principe même d’un accord » avec son parti, Reconquête, dans le cadres des élections législatives des 30 juin et 7 juillet.

« Malgré mes tentatives de négociation, le regrettable argument qui m’a été avancé (est) qu’ils ne souhaitent aucune association directe ou indirecte avec Eric Zemmour » , a expliqué dans un communiqué celle qui dirigeait la liste zemmouriste aux européennes, en précisant que Jordan Bardella l’avait informée mardi après-midi de sa décision.

Retailleau accuse Ciotti d’avoir « menti » 

Le président du groupe LR au Sénat Bruno Retailleau a accusé le patron du parti Eric Ciotti d’avoir  » menti  » et de  » déloyauté « , tandis que l’eurodéputé François-Xavier Bellamy a estimé que la droite ne doit « pas abandonner ses couleurs ».

Il « nous a menti dans un but sans doute personnel (…) pour nous placer dans une situation telle qu’on ne puisse pas se retourner » , a déploré Bruno Retailleau.

Bruno Le Maire tend la main aux Républicains 

Après l’annonce d’alliance entre Les Républicains et le RN par Eric Ciotti, les membres du parti se déchirent. Certains reconnaissent la nécessité de l’accord, d’autres dénoncent cet accord. Face à ce déchirement interne, le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a écrit sur X que la majorité était ouverte. « Faisons une place dans notre majorité à tous les élus et militants LR qui refusent la collaboration » , a-t-il commenté.

Faisons une place dans notre majorité à tous les élus et militants LR qui refusent la collaboration. Rassemblons \ud83c\uddeb\ud83c\uddf7

— Bruno Le Maire (@BrunoLeMaire) June 11, 2024

« Honte à vous » : Sandrine Rousseau interpelle Eric Ciotti

La députée EELV Sandrine Rousseau a invectivé Eric Ciotti devant le siège des Républicains après l’annonce de son ralliement au RN. « Honte à vous », lui a-t-elle lancé, comme on peut le voir dans cette vidéo.

Le président des Républicains en Aveyron refuse l’alliance

Maire de Saint-Affrique et patron des Républicains en Aveyron, Sébastien David refuse l’alliance avec le Rassemblement national.   « Nous soutiendrons quelqu’un qui a nos valeurs, celles du Général de Gaulle », insiste-t-il.

Le maire LR de Nîmes, Jean-Paul Fournier, se met en retrait de son parti

Le maire Les Républicains de Nîmes s’est dit ulcéré par l’annonce d’Eric Ciotti ce mardi de former une alliance avec le Rassemblement national. Je lui demande de démissionner de la présidence du parti. Et s’il ne démissionne pas, c’est moi qui m’en vais ! » , a-t-il réagi auprès de Midi Libre.

Un peu après, il a clarifié sa position sur sa page Facebook : « Je me mets donc en retrait des LR jusqu’à nouvel ordre. Je demande à tous ceux qui souhaitent voir nos principes, nos idéaux, perdurer, même minoritaires, de rester soudés. Nous le devons pour le devenir de la Nation »

Des personnalités commencent à quitter Les Républicains

Premières défections aux Républicains : deux influents sénateurs, la vice-présidente Sophie Primas et le rapporteur général du Budget Jean-François Husson , ont annoncé mardi qu’ils quittaient le parti gaulliste après que le patron du parti Eric Ciotti a prôné « une alliance » avec le Rassemblement national.

Au regard des déclarations de Mr Eric Ciotti, à contre coeur, et après des années au RPR puis à l’ UMP puis aux Républicains, je quitte ce mouvement.
L occasion pour la droite de se reconstruire et d écrire une nouvelle histoire.

— Sophie Primas (@sophieprimas) June 11, 2024

« Une alliance avec le RN aux législatives, c’est bien sûr sans moi ! Je quitte Les Républicains et continue le combat avec le soutien unanime du groupe de Gérard Larcher (président du Sénat) et Bruno Retailleau (chef des sénateurs LR) » , a écrit M. Husson sur X, tandis que Mme Primas, vice-présidente de la chambre haute, a affirmé sur le même réseau social qu’elle faisait ce choix « à contrecœur », appelant la droite à « se reconstruire ».

Eric Ciotti exclut de démissionner et s’en remet aux militants

De nombreux cadres du parti appellent Eric Ciotti à démissionner des Républicains après l’annonce de son alliance avec le RN. C’est le cas du président du Sénat Gérard Larcher, qui estime qu’il « ne peut plus présider notre mouvement et doit se démettre de son mandat ».

À la suite des déclarations d’@ECiotti j’estime qu’il ne peut plus présider notre mouvement et doit se démettre de son mandat de président des @lesRepublicains

— Gérard Larcher (@gerard_larcher) June 11, 2024

Eric Ciotti a quant à lui fait savoir qu’il n’avait pas d’intention de démissionner et affirme avoir le soutien des militants.

Un recours déposé au Conseil constitutionnel contre le décret d’Emmanuel Macron

Selon un préfet et ancien chef du bureau des élections au ministère de l’Intérieur, « la sincérité du scrutin est mise en cause par l’impossibilité de respecter certaines dispositions législatives dans un délai si court » , d’après Le Figaro .

Gabriel Attal sera mardi l’invité du 20 h de TF1

Gabriel Attal sera mardi l’invité du journal télévisé de 20 h de TF1, a indiqué à l’AFP l’entourage du Premier ministre. Le chef du gouvernement répondra au questions de la chaîne après être sorti de son silence mardi devant les députés Renaissance. « J’irai au bout de mon devoir » pour « éviter le pire » aux élections législatives anticipées, a affirmé Gabriel Attal devant les élus de son camp, considérant la dissolution comme « soudaine » , voire « brutale » pour les députés.

« L’heure est grave », « nous devons tous nous parler à gauche », souligne Carole Delga

Le nouveau front populaire « doit transformer le destin de la France, stopper la dérive (…) vers l’extrême-droite (…), a appuyé Carole Delga, la présidente de la région Occitanie sur France Inter. « On doit être dans un rassemblement très large des partis de la société civile. (…) Nous devons nous parler tous à gauche, parler à la droite républicaine, à la République en marche. L’heure est grave, nous devons arrêter de tergiverser avec des problèmes de personne (…) quand il y a un risque d’extrême-droite. »

« C’est une infamie », la réaction de Carole Delga à la prise de position d’Éric Ciotti 

« C’est une infamie, une trahison à l’héritage du Général de Gaulle » , s’est exprimé Carole Delga, présidente de la région Occitanie sur France Inter à 13 h 30, en réaction à la prise de position d’Éric Ciotti qui « veut un accord avec le RN » . « C’est un acte insensé ».

Ciotti défend « une ligne personnelle » en s’ouvrant au RN selon le président des sénateurs LR

Le président des Républicains Eric Ciotti défend « une ligne personnelle » en prônant une alliance avec le RN aux législatives, a affirmé mardi le président des sénateurs LR Bruno Retailleau, rejoint par le patron des députés LR Olivier Marleix pour qui M. Ciotti « n’engage que lui » et doit démissionner. « J’ai eu Eric Ciotti au téléphone à plusieurs reprises lundi et je l’ai même rencontré, il ne m’a rien dit (de ses intentions). Un parti politique, ce n’est pas seulement une personne » , a lancé M. Retailleau après une réunion de groupe au Sénat. « Eric Ciotti n’engage que lui. Il doit quitter la présidence des Républicains » , a pour sa part écrit sur X Olivier Marleix, alors que M. Ciotti prônait dans le même temps sur TF1 un accord avec le Rassemblement national.

Éric Ciotti veut un accord avec le RN pour « avoir un groupe important » à l’Assemblée

Éric Ciotti veut un accord avec le RN pour « préserver les députés sortants » LR et avoir « un groupe important » à l’Assemblée. « Je reste président des Républicains (…) Je veux que demain nous soyons encore là pour (…) redresser le pays » , a ajouté Éric Ciotti au JT de TF1.

« Nous avons besoin d’une alliance avec le Rassemblement national », assume Éric Ciotti

« Il y a la nécessité de servir le pays qui est en danger, s’est exprimé le président des Républicains, Eric Ciotti, ce mardi 11 juin au JT de TF1. Nous avons besoin d’une alliance avec le Rassemblement national en restant nous-mêmes (…) Le pays attend la droite et des actes de droite (…) Je souhaite que ma famille politique aille dans ce sens ».

Macron exclut de démissionner « quel que soit le résultat »

« J’y vais pour gagner !» », a confié Emmanuel Macron au Figaro.

Laurent Wauquiez affirme son opposition à toute alliance avec le RN

Le président Les Républicains de la région Auvergne-Rhône-Alpes devrait annoncer ce mardi 11 juin qu’il se porte candidat aux élections législatives dans le département de la Haute-Loire selon une information du Parisien .

Alors que la folie s’empare de la politique française et que la France va traverser une période de grande instabilité, notre pays va avoir besoin d’élus solides et fidèles à leurs convictions. Le devoir de la Droite républicaine est de proposer une parole claire et indépendante…

— Laurent Wauquiez (@laurentwauquiez) June 11, 2024

Dans un tweet, le futur candidat républicain a évoqué une « folie » dans la « politique française ». « Le devoir de la Droite républicaine est de proposer une parole claire et indépendante entre l’impuissance du « en même temps » et le saut dans l’inconnu du RN. Il n’y a aucun avenir pour les combinaisons d’appareil ».

Attal va se représenter dans les Hauts-de-Seine

Gabriel Attal va se représenter aux élections législatives dans sa circonscription, la dixième des Hauts-de-Seine, à Vanves, où il avait été élu avec 59,85 % des voix en 2022, contre la socialiste Cécile Soubelet (40,15 %), selon son entourage.

Le Premier ministre a fait cette annonce aux députés Renaissance mardi matin, devant lesquels il a promis d’aller « au bout de (son) devoir » pour « éviter le pire » à ces élections, où l’extrême droite est donnée favorite.

Pas de compromis pour Olivier Marleix

Le président des députés LR à l’Assemblée nationale Olivier Marleix a annoncé mardi que les élus de son groupe seraient candidats sous leurs « couleurs », « sans arrangements », sur fond de spéculations autour d’un accord entre la droite et le Rassemblement national pour les législatives anticipées.

Nous serons candidats sous nos couleurs. Sans arrangements. Aucun.

— \ud83c\uddeb\ud83c\uddf7 Olivier Marleix (@oliviermarleix) June 11, 2024

« Nous serons candidats sous nos couleurs. Sans arrangements. Aucun » , a déclaré M. Marleix sur le réseau social X, alors qu’un article du Figaro a affirmé mardi que le patron du parti Eric Ciotti envisageait un accord avec le Rassemblement national. M. Ciotti s’exprimera à 13H au journal télévisé de TF1.

Eric Ciotti doit clarifier sa position

Le patron des Républicains n’attendra pas ce soir pour clarifier sa position vis à vis du RN. Eric Ciotti est invité du JT de 13 h sur TF1. Les bruits concernant un accord avec le RN en vue des législatives font plus que jamais réagir dans son camp.

« L’ADN de la droite républicaine c’est ‘jamais les extrêmes' » a martelé Xavier Bertrand ce mardi matin au micro de France Info. Renaud Muselier, président LR de la région Sud a aussi réagi à un éventuel accord annoncé par Ciotti en twittant : « De Gaulle, Pompidou, Chirac : nos aînés, mes maitres, nos mentors doivent se retourner dans leur tombe ! ».

De Gaulle, Pompidou, Chirac : nos aînés, mes maitres, nos mentors doivent se retourner dans leur tombe !

La France \ud83c\uddeb\ud83c\uddf7 libre bafouée , la croix de Lorraine humiliée ! Où est passé la famille politique que j’ai tant aimé et servie ,dont j’ai porté l’étendard avec fierté et… pic.twitter.com/0Xa5OECxKz

— Renaud Muselier (@RenaudMuselier) June 11, 2024

Le « front populaire » avec qui ?

L’entourage de Raphaël Glucksmann indique que l’eurodéputé pourrait quitter les discussions concernant la création d’un front populaire si LFI entrait dans l’équation. « Place publique a signé un texte comme quoi la totalité des partis de gauche ferait le maximum pour lutter contre l’extrême droite. Mais ce n’est pas aux dépens de nos principes fondamentaux » , indique son entourage à l’Opinion .

3. Nous ferons tout pour barrer la route au RN dans la clarté et la fidélité aux principes que nous avons portés pendant les Européennes.

Le rassemblement sur ces bases limpides devra être ouvert à tous ceux qui se reconnaissent dans ce cap, y compris des députés de LIOT par ex

— Raphael Glucksmann (@rglucks1) June 11, 2024

Invité la veille au JT de France 2, Raphaël Glucksmann a indiqué qu’il poserait 5 conditions pour construire cette alliance. Quant à la place de Jean-Luc Mélenchon dans cette alliance, « il n’y a pas de logique à ce que Jean-Luc Mélenchon soit le candidat », a estimé Olivier Faure. « La question de Jean-Luc Mélenchon n’est pas consensuelle dans cet accord » , a abondé en son sens la députée écologiste Sandrine Rousseau.

La conférence de presse d’Emmanuel Macron reportée

Emmanuel Macron avait annoncé tenir une conférence de presse ce mardi 11 juin dans le contexte des législatives anticipées provoquées par la dissolution de l’Assemblée nationale. Finalement celle-ci aura lieu ce mercredi à la mi-journée selon son entourage.

Le Président envisage de multiplier les interventions a indiqué l’Express, qui évoque « trois interventions par semaine jusqu’aux élections législatives « , selon l’entourage d’Emmanuel Macron.

Laurent Wauquiez candidat

Le président Les Républicains de la région Auvergne-Rhône-Alpes devrait annoncer ce mardi 11 juin qu’il se porte candidat aux élections législatives dans le département de la Haute-Loire selon une information du Parisien .

Eric Ciotti envisage un accord avec le RN

Le président des Républicains, Eric Ciotti, doit s’exprimer ce mardi 11 juin au JT de TF1. Selon une information du Figaro , il pourrait annoncer un accord avec le Rassemblement national.

Invité de BFM, le ministre Bruno Le Maire réagit : « Monsieur Ciotti nous dit qu’il ne fera jamais d’accord avec la majorité présidentielle. Peut-il dire avec la même clarté que le parti Les Républicains ne passera jamais d’accord avec le RN ? Se battra-t-il contre l’extrême droite comme l’ont toujours fait le général de Gaulle, Jacques Chirac ou Nicolas Sarkozy ? »

Monsieur Ciotti nous dit qu’il ne fera jamais d’accord avec la majorité présidentielle. Peut-il dire avec la même clarté que le parti Les Républicains ne passera jamais d’accord avec le RN ? Se battra-t-il contre l’extrême droite comme l’ont toujours fait le général de Gaulle,… pic.twitter.com/vqEgqo1TTX

— Bruno Le Maire (@BrunoLeMaire) June 11, 2024

« On ne s’est pas toujours compris »

Le divorce entre Marion Maréchal et Eric Zemmour est-il en cours ? Alors que la candidate Reconquête était reçue par Bardella ce 10 juin. « On ne s’est pas toujours compris dans ces élections avec Eric Zemmour car lui considérait qu’il ne fallait en aucun cas épargner le Rassemblement national » , explique celle qui se dit en revanche soutenue par les cadres de Reconquête.

Marion Maréchal : «On ne s’est pas toujours compris dans ces élections avec Eric Zemmour car lui considérait qu’il ne fallait en aucun cas épargner le Rassemblement national», dans #HDPros pic.twitter.com/0TrFlH6cy2

— CNEWS (@CNEWS) June 11, 2024

« Je suis en train de trouver le chemin pour que les idées de Reconquête puissent être représentées et avoir leur voix dans cette coalition. Que ça nous plaise ou non, c’est le Rassemblement national qui pose le cadre ».

Bruno Le Maire met en garde contre une « crise de régime »

Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a mis en garde mardi contre une éventuelle « crise de régime » si aucune « majorité claire » ne se dégage des législatives anticipées organisées à la suite de la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron.

« Soit il y a une majorité claire, soit effectivement nous courons le risque de la crise de régime », a déclaré M. Le Maire sur BFMTV/RMC, répondant à la question de savoir si la France pourrait devenir ingouvernable en l’absence de majorité absolue, avec l’éventualité d’une nouvelle élection présidentielle. « Ce qui se joue dans quelques semaines, c’est l’avenir de la nation française » , a-t-il ajouté.

Bardella tend la main aux Républicains

Le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, a affirmé mardi que « dans les candidats que (son) mouvement politique va soutenir » aux législatives anticipées du 30 juin, « il y aura aussi des gens issus des Républicains ».

« J’appelle les Républicains à cesser d’être la béquille politique d’Emmanuel Macron » , a-t-il déclaré sur RTL, assurant « tendre la main » aux membres de LR tout en prévenant qu’ « il n’y aura pas d’accord de partis politiques ».

Le rapprochement avec Marion Maréchal en voie de concrétisation ?

« Je crois que Marion Maréchal a plutôt envie de travailler avec nous qu’avec d’autres » , a affirmé ce mardi 11 juin le porte-parole du Rassemblement national Sébastien Chenu au micro d’Europe 1. « Je crois que si elle vient nous voir c’est qu’elle a plutôt envie et nous on tend la main à ce qui ne nous ressemblent pas forcément » . De là à envisager un accord avec Reconquête ou Eric Zemmour, Sebastien Chenu conteste. « Pas d’accord de partis, pas d’accords électoraux. Je crois qu’il n’a pas très envie et d’ailleurs on ne l’a pas trop entendu ».

« Pas de logique à ce que Mélenchon soit le candidat »

A gauche, alors que le front populaire s’organise, la question de savoir qui pourrait être proposé pour le poste de Premier ministre n’est pas tranchée. « C’est Raphaël Glucksmann qui est arrivé en tête, il n’y a pas de logique à ce que Jean-Luc Mélenchon soit le candidat » à Matignon, a affirmé sur TF1 Olivier Faure, le premier secrétaire du PS.

Législatives : « C’est Raphaël Glucksmann qui est arrivé en tête, il n’y a pas de logique à ce que Jean-Luc Mélenchon soit le candidat » à Matignon en cas de victoire du « Front populaire » explique Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste#BonjourLaMatinaleTF1 pic.twitter.com/OlNZhNUNiq

— TF1Info (@TF1Info) June 11, 2024

« Le Président peut compter sur moi », affirme Edouard Philippe

Invité sur le plateau de RTL ce mardi 11 juin à 7 h 40, Edouard Philippe s’est exprimé pour la première fois depuis l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale.

L’ancien Premier ministre et de chef de file du parti Horizons a apporté son soutien à Emmanuel Macron, affirmant : « Le Président peut compter sur moi et surtout le pays peut compter sur moi : dans ces moments indécis, il ne faut pas tricoter comme disait ma grand-mère, il faut être présent et il faut se battre » .

En réaction à l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale et de l’organisation d’élection législatives anticipées, les 30 juin et 7 juillet prochains, Edouard Philippe a estimé que « redonner la parole aux Français n’est jamais une mauvaise idée » .

Face au Rassemblement national, l’ancien Premier ministre et actuel maire du Havre appelle à « être ouvert » et à « travailler avec d’autres » . « Du PS aux Républicains, construisons ensemble quelque chose qui va dans l’intérêt de notre pays » , a-t-il déclaré.

Edouard Philippe a aussi affirmé que : « ce n’est pas mon ambition d’être Premier ministre, mais de permettre à notre pays de ne pas perdre trois ans […] je ne crois pas que le Rn fera du bien à la France, nous devons construire une autre majorité » . Un projet qui doit se construire sur « les idées ».   « Il faut remettre de l’ordre dans nos comptes, nos rues et nos têtes […] si on ne redonne pas confiance à la classe moyenne, notre République et notre démocratie ne s’en remettront pas : ce pessimisme détruit la société française » , a-t-il conclu.

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DMJ Archives : Préservation de l’histoire locale en Île-de-France

DMJarchives.org incarne une précieuse ressource pour l’archivage et la préservation de l’histoire locale en Île-de-France, spécifiquement en ce qui concerne les archives internet.

En tant que gardien vigilant de la mémoire collective numérique, DMJ Archives offre un accès sans précédent à une vaste gamme de documents historiques en ligne, allant des versions passées des principaux sites web locaux à une riche photothèque d’images digitales.

Engagement envers la préservation

Avec un engagement ferme envers la conservation de la richesse culturelle et patrimoniale de la région, DMJ Archives joue un rôle crucial dans la préservation du passé pour les générations futures.

Grâce à son initiative soutenue par l’Association des Maires Franciliens, cette plateforme s’érige en véritable bibliothèque virtuelle, permettant à chacun d’explorer les archives numériques et de se plonger dans l’histoire de chaque territoire francilien.

Exploration des archives

La méthodologie organisée par territoire offre une immersion approfondie dans les événements et les évolutions locales au fil du temps. De la reconstitution minutieuse des sites internet à la mise à disposition de documents variés, DMJarchives.org représente une mine d’informations inestimable pour les chercheurs, les étudiants et les passionnés d’histoire.

Un lien avec le passé

En embrassant les technologies numériques, DMJ Archives transcende les limites de l’espace et du temps, permettant à quiconque, où qu’il soit, de se connecter avec le passé de l’Île-de-France. En parcourant ces archives internet, chaque utilisateur est invité à devenir un acteur de la préservation de l’histoire locale, contribuant ainsi à préserver et à transmettre ce précieux héritage pour les générations futures.

Conclusion

Dans un monde en constante évolution, où les avancées technologiques redéfinissent notre manière d’interagir avec le passé, DMJarchives.org demeure un phare de stabilité, un gardien vigilant des trésors numériques de l’Île-de-France. En explorant cette mémoire collective numérique, nous sommes invités à nous immerger dans les récits et les souvenirs qui ont façonné notre région, à en apprendre davantage sur notre héritage commun et à mieux comprendre notre place dans le tissu de l’histoire locale.