Les 27 pays de l’UE ont fixé les dates des prochaines élections européennes du 6 au 9 juin 2024. 81 députés européens seront élus en France, où le vote aura lieu le 9 juin. Voici les têtes de liste :
Jordan Bardella (Rassemblement national). À 28 ans, Jordan Bardella, le président du Rassemblement national (RN) aborde les élections européennes dans l’inhabituelle position d’ultrafavori. Le jeune homme, qui commençait à peine sa licence d’histoire-géo à La Sorbonne après avoir obtenu son baccalauréat, s’est rapidement engagé à temps plein au Front national. Il en est d’abord devenu le porte-parole, avant d’en diriger le mouvement de jeunesse «Génération nation».
Valérie Hayer (Renaissance-MoDem-Horizons-UDI-Parti radical). Présidente du groupe centriste «Renew» au Parlement européen, Valérie Hayer, 38 ans, est une spécialiste des questions budgétaires à Bruxelles. Marcheuse historique issue du parti de centre droit UDI, cette diplômée de la Sorbonne – en droit et en finances publiques – a commencé sa vie politique en Mayenne. Cette «fille d’agriculteurs, petite-fille d’agriculteurs et sœur d’agriculteurs», comme elle se définit, a été élue à 21 ans conseillère municipale de son village, Saint-Denis-d’Anjou, puis conseillère départementale.
Raphaël Glucksmann (PS-Place publique). Sa première aventure comme candidat aux élections européennes de 2019 avait été perçue comme un échec. À la tête de son petit mouvement Place Publique, Raphaël Glucksmann, soutenu par le PS, n’avait recueilli que 6,19% des voix. Reconduit cinq ans plus tard, l’essayiste de 44 ans se veut cette fois plus confiant. Les récentes enquêtes d’opinion le donnent autour des 14% des intentions de vote.
François-Xavier Bellamy (Les Républicains). Grand espoir de la droite lors de la dernière campagne européenne, François-Xavier Bellamy a recueilli le score décevant de 8,2% en 2019. Un mandat plus tard, ce normalien, professeur de philosophie, s’est toutefois imposé de nouveau comme le chef de file de la liste LR, grâce à l’expérience emmagasinée durant cinq ans.
Manon Aubry (La France Insoumise). Comme pour Raphaël Glucksmann, la première campagne de Manon Aubry n’a pas été un franc succès. La tête de liste des Insoumis, ex-porte-parole d’Oxfam, n’avait pas dépassé les 6,31% des voix en 2019. Devenue depuis coprésidente du groupe «The Left» («la gauche», ndlr) au Parlement européen, l’eurodéputée LFI de 34 ans est parvenue à trouver sa place dans la machine mélenchoniste, et a été reconduite assez naturellement cinq ans plus tard.
À lire aussiEuropéennes : Le Figaro Magazine passe au crible le programme des principaux candidats
DMJ Archives : Préservation de l’histoire locale en Île-de-France
DMJarchives.org incarne une précieuse ressource pour l’archivage et la préservation de l’histoire locale en Île-de-France, spécifiquement en ce qui concerne les archives internet.
En tant que gardien vigilant de la mémoire collective numérique, DMJ Archives offre un accès sans précédent à une vaste gamme de documents historiques en ligne, allant des versions passées des principaux sites web locaux à une riche photothèque d’images digitales.
Engagement envers la préservation
Avec un engagement ferme envers la conservation de la richesse culturelle et patrimoniale de la région, DMJ Archives joue un rôle crucial dans la préservation du passé pour les générations futures.
Grâce à son initiative soutenue par l’Association des Maires Franciliens, cette plateforme s’érige en véritable bibliothèque virtuelle, permettant à chacun d’explorer les archives numériques et de se plonger dans l’histoire de chaque territoire francilien.
Exploration des archives
La méthodologie organisée par territoire offre une immersion approfondie dans les événements et les évolutions locales au fil du temps. De la reconstitution minutieuse des sites internet à la mise à disposition de documents variés, DMJarchives.org représente une mine d’informations inestimable pour les chercheurs, les étudiants et les passionnés d’histoire.
Un lien avec le passé
En embrassant les technologies numériques, DMJ Archives transcende les limites de l’espace et du temps, permettant à quiconque, où qu’il soit, de se connecter avec le passé de l’Île-de-France. En parcourant ces archives internet, chaque utilisateur est invité à devenir un acteur de la préservation de l’histoire locale, contribuant ainsi à préserver et à transmettre ce précieux héritage pour les générations futures.
Conclusion
Dans un monde en constante évolution, où les avancées technologiques redéfinissent notre manière d’interagir avec le passé, DMJarchives.org demeure un phare de stabilité, un gardien vigilant des trésors numériques de l’Île-de-France. En explorant cette mémoire collective numérique, nous sommes invités à nous immerger dans les récits et les souvenirs qui ont façonné notre région, à en apprendre davantage sur notre héritage commun et à mieux comprendre notre place dans le tissu de l’histoire locale.