, CARTE – Candidats aux législatives 2024 : voici qui se présente dans votre circonscription

CARTE – Candidats aux législatives 2024 : voici qui se présente dans votre circonscription

CARTE - Candidats aux législatives 2024 : voici qui se présente dans votre circonscription Qui se présente au 1er tour aux législatives ? Découvrez les listes des candidats en lice dans ces élections et tous les candidats de votre circonscription.

►Trouvez votre commune ou votre circonscription pour consulter les listes de candidats aux législatives :

Qui sont les candidats aux élections législatives 2024 ? Qui sont ceux qui se présentent dans votre circonscription ? Découvrez grâce au moteur de recherche ci-dessus tous les candidats près de chez vous en cherchant une ville, une commune, ou les circonscriptions. Cliquez aussi sur la carte ci-dessous pour trouver les listes de candidats dans un département.

Le dimanche 30 juin, les résultats du vote du premier tour permettront de qualifier tous les candidats ayant recueilli au moins 12,5% des voix des électeurs, ils seront, dans l’immense majorité, au nombre de deux. Le second tour donnera lieu à des discussions intenses pour les reports de voix, avec soit de nouvelles alliances, soit des appels au vote, qui peuvent s’avérer déterminants. Trouvez les candidats près de chez vous avec notre carte :

La gauche unie ne présente qu’une seule candidature par circonscription, à quelques exceptions où un candidat dissident a décidé de se maintenir. A droite, les alliances se sont conclues plus localement : la branche de LR qui a suivi Eric Ciotti dans son rapprochement avec le parti de Jordan Bardella présente 62 candidats soutenus par le RN. La branche LR historique a conclu quelques arrangements locaux avec la majorité présidentielle, notamment dans les Hauts-de-Seine. Enfin, la majorité présidentielle a décidé de ne pas investir de candidats face à une vingtaine de députés sortants, LR, socialistes ou du groupe LIOT.

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16:56 – Boris Vallaud, candidat à sa réélection et.. à Matignon ? Sa réponse pleine d’humour

Celui qui était jusqu’à la dissolution de l’Assemblée président des socialistes dans l’hémicycle est aujourd’hui candidat à sa réélection dans la 3e circonscription des Landes. Quid de Matignon, alors que bon nombre de personnalités à gauche ont déjà fait connaître leur disponibilité en cas de victoire ? « Vous savez, les radicaux disaient : ‘Sur l’aimable insistance de mes amis.’ Et maintenant, je crois que la formule c’est : ‘Je m’en sens capable’ ? Bon bah, voilà », a-t-il lâché à TF1 Infos, non sans humour.

16:17 – Qui sont les 11 ministres qui ne sont pas candidats aux législatives ?

Si 24 membres du gouvernement font campagne, 11 ministres ne se présentent pas aux élections législatives. Parmi eux, de nombreux poids lourds. On note ainsi que Bruno Le Maire, Éric Dupond-Moretti, Nicole Belloubet et Catherine Vautrin ne sont pas en lice. Rachida Dati, Amélie Oudéa-Castéra, Sylvie Retailleau, Christophe Béchu, Sébastien Lecornu, Patrice Vergriete et Chrysoula Zacharopoulou ne sont pas non plus candidats.

15:43 – Qui sont les ministres candidats pour ces législatives ? (2/2)

Alors qu’une bonne dizaine des 24 membres du gouvernement candidats aux élections législatives est en lice en Île-de-France, les autres font campagne pour des postes aux quatre coins du pays. Parmi eux, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin (10e circonscription du Nord). Mais aussi : Agnès Pannier-Runacher (2e circonscription du Pas-de-Calais), Hervé Belleville (2e circonscription des Côtes-d’Armor), Sarah El Haïry (5e circonscription de Loire-Atlantique), Marc Fesneau (1re circonscription du Loir-et-Cher), Fadila Khattabi (3e circonscription de Côte d’Or), Guillaume Kasbarian (1re circonscription d’Eure-et-Loir), Thomas Cazenave (1re circonscription de Gironde), Dominique Faure (10e circonscription de Haute-Garonne), Sabrina Agresti-Roubache (1re circonscription des Bouches-du-Rhône), Patricia Mirallès (1re circonscription de l’Hérault), Marina Ferrari (1re circonscription de Savoie), Roland Lescure (1re circonscription des Français de l’étranger).

15:19 – Qui sont les ministres candidats pour ces législatives ? (1/2)

Pas moins de 24 membres du gouvernement sont candidats aux élections législatives. Parmi eux, on compte notamment : Gabriel Attal (10e circonscription de Paris), Stanislas Guérini (3e de Paris), Olivia Grégoire (12e de Paris), Stéphane Séjourné (9e circonscription des Hauts-de-Seine), Aurore Bergé (10e circonscription des Yvelines), Marie Lebec (4e circonscription des Yvelines), Jean-Noël Barrot (2e circonscription des Yvelines), Prisca Thévenot (8e circonscription des Hauts-de-Seine), Franck Riester (5e circonscription de Seine-et-Marne), Frédéric Valletoux (2e circonscription de Seine-et-Marne), Marie Guévenoux (9e circonscription de l’Essonne).

14:32 – Le candidat suspendu par le RN réfute avoir fait un tweet antisémite

Mercredi 19 juin, le candidat du Rassemblement national Joseph Martin a perdu le soutien de son parti après la découverte d’un tweet jugé antisémite. Dans ce message posté en 2018, il avait écrit « le gaz a rendu justice aux victimes de la Shoah ». Jeudi 20 juin, l’homme explique qu’il s’agissait d’une réaction à la mort, survenue la veille, de Robert Faurisson, rapporte Le Monde. Cette figure d’extrême droite avait nié l’existence du génocide juif par les nazis et l’existence des chambres à gaz. À l’époque, Joseph Martin pensait que cette mort était liée à une fuite de gaz.

14:01 – Aurélien Rousseau candidat pour le Nouveau Front Populaire

Aurélien Rousseau, ancien ministre de la Santé d’Emmanuel Macron, est candidat aux élections législatives sous les couleurs du Nouveau Front populaire (NFP). Invité de franceinfo jeudi 20 juin, il a expliqué avoir eu un « désaccord politique » avec le gouvernement. « Je suis parti sur la loi immigration parce que je considérais qu’on allait trop loin […] je percevais une orientation à droite », a-t-il ajouté. Le score du Rassemblement national et la dissolution de l’Assemblée nationale l’ont poussé à se présenter avec le NFP.

13:30 – Éric Ciotti conteste la classification de ses candidats

Éric Ciotti a présenté 62 candidats sous la bannière « Les Républicains à droite » dans le cadre d’une alliance avec le Rassemblement national. Ces derniers sont classés dans la catégorie « union de l’extrême droite » par le ministère de l’Intérieur. « D’un côté, les Français patriotes sont injustement étiquetés, et de l’autre, une extrême gauche séditieuse, factieuse et antisémite bénéficie d’une terminologie bien plus douce », a déploré Éric Ciotti dans un communiqué, jeudi 20 juin. L’homme reste président de son parti, son exclusion ayant été suspendue.

13:05 – Le retour de Jérôme Cahuzac pour les législatives

Jérôme Cahuzac, ancien ministre délégué du Budget sous la présidence de François Hollande, condamné pour fraude fiscale, est candidat dans la troisième circonscription du Lot-et-Garonne. Il n’est pas soutenu par le parti socialiste et se présente donc en indépendant. Les autres candidats en lice dans cette circonscription sont : Annick Cousin (RN), Guillaume Lepers (LR), Xavier Czapla (NFP) et Bernadette Gasc (LO).

12:40 – Qui est le plus jeune candidat aux élections législatives ?

Le plus jeune candidat aux élections législatives a 18 ans et se présente dans la 5e circonscription du Doubs. Nolann Laurent, qui a passé l’épreuve de philosophie du bac mardi, a créé son parti appelé Génération démocratique et républicaine. Interrogé par BFM TV, il explique que son mouvement est classé « au centre » et qu’il emprunte « des idées à droite et à gauche pour construire quelque chose de fort ». 

12:10 – La parité recule parmi les candidats

Pour les élections législatives, comme pour tous les scrutins uninominaux, la parité n’est pas obligatoire, mais les partis sont frappés de pénalités financières s’ils ne présentent pas autant de femmes que d’hommes. Les 4010 candidats aux élections législatives anticipées sont 2362 hommes et 1648 femmes, indique Le Figaro. Les femmes représentent 42% des candidats, un nombre en baisse puisqu’elles étaient 44% aux élections législatives de 2022. 

11:45 – Les propos polémiques d’un candidat aux législatives

Invité de sud Radio jeudi 20 juin, Ismaël Boudjekada, candidat dans la 9ème circonscription des Français de l’étranger, qui est aussi musulman a affirmé que l’homosexualité n’était pas « dans l’ordre naturel des choses ». En tant qu’élu de la République il a ajouté qu’il ne se permettrait jamais de juger des gens « sur la base de leur orientation sexuelle ». Sur X, Manuel Bombard a réagi en disant que ce candidat n’était pas membre de la France insoumise et n’était pas investi par le Nouveau Front populaire. 

11:16 – Le candidat NFP, fiché S, ne retirera pas sa candidature

Candidat pour l’alliance de gauche aux législatives dans le Vaucluse, le porte-parole et membre éminent du mouvement antifasciste La Jeune Garde, Raphaël Arnault, fiché S, a souhaité, hier, désamorcer les nombreuses attaques contre lui. Sur BFMTV, il a également indiqué qu’il ne comptait « certainement pas » retirer sa candidature malgré le « déversement de haine » dont il est victime.

10:49 – Laurent Wauquiez (LR) en difficulté en Haute-Loire ?

Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez est candidat dans la 1ère circonscription de Haute-Loire. Si Nicolas Sarkozy avait déjà été élu dans cette circonscription, elle n’est plus aussi rattachée aux Républicains qu’auparavant. Aux élections européennes, c’est le RN qui est arrivé en tête avec près de 40 % des voix, très loin devant LR, en quatrième position (10 % des suffrages). La tâche s’annonce donc ardue pour le président de région et ex-député. 

10:25 – Jean-Philippe Tanguy (RN) reconnaît l’existence d’un « antisémitisme résiduel »

Après que Libération ait repéré le message antisémite de l’un des candidats RN aux élections législatives, le député sortant et candidat dans la 4e circonscription de la Somme Jean-Philippe Tanguy reconnaissait ce jeudi matin sur BFMTV qu’un « antisémitisme résiduel » pouvait exister, en revanche, il proviendrait selon lui « de l’extrême droite ou de préjugés épouvantables ». En cause, un message de 2018 du candidat RN dans le Morbihan Joseph Martin, affirmant que « le gaz (avait) rendu justice aux victimes de la Shoah ». Le parti lepéniste a depuis retiré son soutien au candidat.

10:09 – Manuel Bompard (NFP) face à Bardella et Attal lors d’un débat

Candidat dans la 4e circonscription des Bouches-du-Rhône, le Coordinateur de La France Insoumise Manuel Bompard a été investi par le Nouveau Front populaire. Il participera au grand débat organisé par TF1 le 25 juin prochain face à Jordan Bardella et Gabriel Attal. 

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Quelques heures après l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale, le Parti socialiste, le Parti communiste, Europe Ecologie Les Verts, La France insoumise, Place publique et le pôle écologiste se sont réunis pour bâtir une alliance. En quelques jours, les formations de gauche se sont réparties les circonscriptions ne manière à présenter des candidatures uniques : 229 pour La France insoumise, 175 pour le Parti socialiste/Place publique, 92 pour les écologistes et leurs alliés, 50 pour les communistes.

Sur le quota de La France insoumise, Adrien Quatennens a finalement annoncé renoncer à sa candidature dans le Nord. LFI a investi à sa place Aurélien Le Coq, co-animateur national des Jeunes insoumis. Par ailleurs, la non-réinvestiture de plusieurs députés a fait polémique : Alexis Corbière (Seine-Saint-Denis), Raquel Garrido (Seine-et-Marne), Danielle Simonnet (Paris), Frédéric Mathieu (Ille-et-Vilaine) et Hendrik Davi (Bouches-du-Rhône). En revanche, le député de la Somme François Ruffin est candidat à sa réélection, tout comme la députée de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain. LFI a également décidé d’investir le militant du NPA Philippe Poutou dans la 1ère circonscription de l’Aude.

Côté socialistes, la candidature de François Hollande a fait réagir : l’ancien président de la République a été investi dans la 1ère circonscription de Corrèze, son fief. Autre candidature surprenante : l’ancien ministre de la Santé d’Emmanuel Macron, Aurélien Rousseau, a été investi par Place publique dans la 7ᵉ circonscription des Yvelines. Ce dernier avait quitté le gouvernement à la suite du vote de la loi immigration. Côté communistes, le jeune Léon Deffontaines, tête de liste défaite aux européennes, est candidat dans la 3e circonscription de la Somme. Le patron du PCF, Fabien Roussel, est candidat à sa réélection dans le Nord. Côté EELV, la secrétaire nationale du parti, Marine Tondelier, se présente comme suppléante de Samira Laal dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais.

Le parti de Jordan Bardella a réinvesti ses députés sortants : Marine Le Pen dans le Pas-de-Calais (11e), Jean-Pihlippe Tanguy dans la Somme (4e) ou encore Sébastien Chenu dans le Nord (19e). Le Rassemblement national a également conclu une alliance avec une branche minoritaire de LR qui a suivi son président Eric Ciotti : le député de la 1ère circonscription des Alpes-Maritimes n’aura donc pas de candidat du RN face à lui. Il a été suivi dans son alliance par une autre députée du département, Christelle d’Intorni, ainsi que par le président des Jeunes républicains, Guilhem Carayon, qui se présente dans le Tarn. Le député sortant Meyer Habib, dans la 8e circonscription des Français établis hors de France, suit également le mouvement. A noter encore la candidature de plusieurs chroniqueurs de CNews sous cette double-investiture : Guillaume Bigot, Sébastien Laye, Philippe Fontana ou encore Charles Prats. Une ancienne députée macroniste, Typhanie Degois, rejoint également l’alliance et se présente en Savoie.

La majorité des députés LR sortants ont cependant refusé l’alliance avec le RN : la branche historique du parti a annoncé tôt ce lundi avoir investi « près de 400 candidats dans 93 départements et dans les circonscriptions des Français de l’étranger ». La secrétaire générale du parti candidate naturellement à sa réélection dans le Doubs, tandis que le patron sortant des députés LR Olivier Marleix se représente dans la 2e circonscription d’Eure-et-Loir.

Renaissance, Horizons et le MoDem réinvestissent sans surprise la plupart de leurs députés sortants. Mais conformément aux annonces faites par l’exécutif, la majorité présidentielle ne présente pas de candidats face à certains députés sortants d’autres camps, jugés « constructifs » ou dans « l’arc républicain ». C’est le cas d’un vingtaine de députés de LR, de Liot ou du PS. Ainsi, aucun candidat « Ensemble pour la République » n’a été investi face à François Hollande en Corrèze. De plus, quelques accords ont été trouvés avec LR au niveau local : dans les Hauts-de-Seine, la droite et les macronistes présentent des candidatures uniques dans chaque circonscription. Accords similaires en Loire-Atlantique et à Marseille par exemple.

Par ailleurs, plusieurs membres et anciens membres du gouvernement sont candidats à ces élections législatives : le Premier ministre Gabriel Attal se présente dans la 10e circonscription des Hauts-de-Seine, sa prédécesseure Elisabeth Borne dans la 6e du Calvados. Gérald Darmanin candidate dans la 10e du Nord, Olivier Véran dans la 1ère de l’Isère, Stéphane Séjourné dans la 9e de Paris. En revanche, l’ancien ministre des Solidarités Damien Abad, mis en examen pour tentative de viol en mai, n’a pas reçu l’investiture de la majorité présidentielle pour être candidat à sa réélection dans l’Ain.

Les résultats des candidats aux précédentes législatives

L’une des caractéristiques de ces élections législatives 2024 est le nombre très important de députés sortants : 553 députés actuels, sur 577, sont à nouveau candidats le 30 juin. 23 ministres, dont Gabriel Attal, élus sous leur nom en 2022  et 2 ministres n’ayant jamais brigué un mandat de député : Stéphane Séjourné, ministre des Affaires étrangères et Agnès Pannier-Runacher, ministre de l’Agriculture. Ce scrutin est donc dans sa globalité un match retour dans de très nombreuses circonscriptions, avec des vainqueurs qui remettent leur mandat en jeu seulement 2 ans après leur élection. Il est donc très utile pour comprendre ce qui se joue pour eux d’avoir un oeil sur leur résultat de premier tour aux dernières législatives :

On note que lors de ce premier tour des législatives, les candidats de la majorité présidentielle arrivaient en tête dans 196 circonscriptions, devant l’union de la gauche, qui étaient devant dans 187 circonscriptions. Le RN était quand à lui en tête dans 109 circonscriptions et LR dans 42. Le climat politique et les évolutions dans l’opinion à l’égard de la majorité présidentielle et des partis de l’opposition change la donne. Un élément doit notamment rester en tête de tous les candidats à ces législatives 2024 : la nette progression du Rassemblement national aux élections européennes : à ce scrutin, le 9 juin, l’extrême droite était arrivée en tête dans plus de 32 000 villes, ce qui donne une tendance pour le premier tour de ces législatives.

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