, Paris 2024 : ce que l’on sait du programme de la cérémonie de clôture

Paris 2024 : ce que l’on sait du programme de la cérémonie de clôture

Les répétitions de la cérémonie de clôture des Jeux olympiques de Paris 2024, le 3 juillet 2024. Les répétitions de la cérémonie de clôture des Jeux olympiques de Paris 2024, le 3 juillet 2024.

Après la Seine, le Stade de France. Pour la cérémonie de clôture des Jeux olympiques, dimanche 11 août à partir de 21 heures, le metteur en scène Thomas Jolly a choisi les 2 800 m2 du stade de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) pour un show intitulé « Records » mêlant passé et imagerie futuriste façon Mad Max. L’équipe mobilisée est quasiment la même que pour la cérémonie d’ouverture : Maud Le Pladec (directrice de la danse), Victor Le Masne (compositeur et directeur musical) et Daphné Bürki (directrice stylisme costumes).

Tom Cruise sur le toit du stade, où il devrait faire une cascade et assurer le passage du drapeau olympique entre Paris et les Etats-Unis, avec des vidéos tournées des deux côtés de l’Atlantique, les musiciens de la French Touch Air et Phoenix en bande-son, des invités surprises comme les stars américaines Billie Eilish ou les Red Hot Chili Peppers, un spectacle « dystopique » : Thomas Jolly a annoncé, vendredi 9 août, lors d’une rencontre avec la presse, avoir voulu « célébrer cette humanité partagée qui vibre chaque jour » depuis le début des Jeux, le 26 juillet. Le spectacle sera assuré par cent dix performeurs, danseurs, acrobates, de différents pays d’Europe et d’Afrique avec en vedette le danseur Arthur Cadre et l’équipe de gymnastique des pompiers de Paris. Vingt-huit d’entre eux dont deux femmes, dirigés par l’adjudant-chef Benjamin Guy, 42 ans, acrobate au sol et au trampoline, participeront au show.

Dans les airs

« On a voulu prendre de la hauteur, jusqu’à l’espace, et notre histoire est l’histoire d’un voyageur interstellaire qui arrive au stade et qui va découvrir les vestiges des Jeux olympiques. Il va les réanimer, comme Pierre de Coubertin qui, à la fin du XIXe siècle, avait voulu réanimer les Jeux olympiques antiques », a expliqué le scénariste Damien Gabriac. Ce personnage, « le Golden Voyageur », tout d’or et de lumière vêtu par le jeune créateur suisse Kevin Germanier, sera interprété par le Français Arthur Cadre. A 32 ans, danseur expert en breaking, artiste de cirque, metteur en scène et architecte, il est la vedette du scénario. Une partie du show prendra place dans les airs, avec de très nombreux passages « sans filets de sécurité à une hauteur importante », selon le chorégraphe Kevin Vivès.

Les costumes de cette « grande fresque futuriste », entièrement réalisés en recyclage par Kevin Germanier (sauf les tenues des vedettes habillées par le sponsor Dior), seront dans la palette dorée, noire et strass. L’orchestre symphonique Divertimento sera chargé, avec les enfants de la maîtrise de Fontainebleau, d’accompagner le spectacle.

Tous les participants se sont entraînés la nuit au Stade de France, quand la piste était libérée par les athlètes, pour répéter le show de clôture une semaine avant le spectacle. Plus brève que l’ouverture, qui avait débuté à 19 h 30 pour se terminer vers 23 h 30 vendredi 26 juillet, la clôture commencera avec la cérémonie de retour des athlètes au stade, puis un spectacle de quarante minutes conclu en musique.

Il y aura ensuite des discours et le passage de relais à Los Angeles, la ville hôte des prochains Jeux d’été en 2028, avec « un hymne qui relie la France et les Etats-Unis », a déclaré le directeur artistique des cérémonies. Elle se terminera par un « final émouvant », vers 23 h 30. Autres temps forts : l’extinction de la vasque et de la flamme olympiques.

La cérémonie d’ouverture, célébrant la diversité, avait suscité des polémiques et Thomas Jolly, comme plusieurs des artistes impliqués, ont été victimes de campagnes de cyberharcèlement, condamnées par les organisateurs et le président Emmanuel Macron, et sur lesquelles la justice enquête. Ils sont depuis placés sous protection sécuritaire. En dépit de ces réactions, « nous avons continué cette cérémonie comme nous l’avions imaginée, a assuré Thomas Jolly. Absolument toutes nos libertés [créatives] ont été préservées » .

Le Monde avec AFP

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