, La fédération française de volleyball s’enracine dans le Val-de-Marne

La fédération française de volleyball s’enracine dans le Val-de-Marne

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La Fédération française de volley (FFV) restera dans le Val-de-Marne. Elle a déposé ses valises dans le département, il y a bientôt 20 ans. Après environ un an de recherche, elle vient d’emménager dans de nouveaux locaux à Créteil ( Val-de-Marne ), à quelques centaines de mètres de la Fédération française de handball. « C’est la deuxième fédération que nous accueillons après celle de handball à Créteil », se réjouit Laurent Cathala, le maire (PS) de Créteil.

Un déménagement qui intervient après près de 20 ans d’implantation à Choisy-le-Roi (Val-de-Marne). Les locaux étaient cependant devenus « trop petit », « inconfortables » pour la vingtaine de salariés, et étaient « une passoire thermique », souligne Eric Tanguy, le président de la FFV. L’édifice accueillera le siège de la fédération dans un cadre neuf pour son activité administrative ainsi que pour ses formations à destination des encadrants de la FFV.

Une fédération ambitieuse

Ce nouveau bâtiment doit donc servir l’ambition de la fédération. Avec six collectifs d’athlètes français pour les Jeux Olympiques et Paralympiques, la fédération espère bien remporter des médailles. Aux Jeux Olympiques de Tokyo de 2021, l’équipe masculine de volleyball a déjà remporté la médaille d’or. Cette année, la FFV mise aussi sur les équipes de beach-volley, ainsi que sur celles de volleyball assis pour les Jeux Paralympiques.

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Avec plus de 13 millions d’euros de budget, la Fédération française de volley est en pleine croissance. « Ce siège de la fédération est à la hauteur de ce que l’on veut pour le volleyball », affirme Eric Tanguy. Une croissance soutenue par la Fédération internationale du volleyball (FIVB) qui a investi un million d’euros dans le développement des équipes féminines de volleyball, mais aussi dans le beach-volley.

« A travers l’investissement, il y a une volonté de la FFV de grandir », salue Fabienne Bourdais, la directrice des sports au sein du ministère des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques. Elle pointe également l’augmentation des pratiquants : « Sur ces cinq dernières années, il y a une augmentation de 44 % des licenciés au sein de la Fédération française de volley. »

Quinze fédérations dans le Val-de-Marne

Si le président de la FFV affiche une vraie volonté de rester dans le Val-de-Marne, Eric Tanguy confie aussi : « Un d�épartement voisin nous a dragués pour venir. » Résultat : les collectivités territoriales ont mis la main au portefeuille pour soutenir l’enracinement de la fédération dans le Val-de-Marne.

Pour boucler les 3,8 millions d’euros pour l’acquisition du bâtiment, la Région a contribué à hauteur de 700.000 euros, l’Etat a versé 500.000 euros et le département a complété avec 100.000 euros. « Il faut soutenir les fédérations et la Région accompagne déjà 698 athlètes de haut niveau », clame Patrick Karam, vice-président chargé des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques à la région Ile-de-France.

Le Val-de-Marne attire surtout par sa proximité avec Paris, ses transports avec l’aéroport d’Orly (Val-de-Marne) et son vivier d’athlètes. « Nous avons la chance d’avoir un département sportif », constate Olivier Capitanio, président (LR) du conseil départemental du Val-de-Marne. Entre la présence de l’Insep, l’établissement de formation des athlètes français à Vincennes (Val-de-Marne) , de 1.900 clubs, de 260.000 licenciés sportifs, le département n’est pas en reste. D’autant qu’il accueille le siège de quinze fédérations dont cinq olympiques [NDLR lutte, aviron, handball, volleyball et haltérophilie].

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