Qui sont les candidats au 1er tour des élections législatives ? Découvrez qui se présente le 30 juin dans votre circonscription grâce à notre carte.
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Qui sont les candidats aux élections législatives 2024 ? Qui sont ceux qui se présentent dans votre circonscription ? Découvrez grâce au moteur de recherche ci-dessus tous les candidats près de chez vous en cherchant une ville, une commune, ou les circonscriptions. Cliquez aussi sur la carte ci-dessous pour trouver les listes de candidats dans un département.
Le dimanche 30 juin, les résultats du vote du premier tour permettront de qualifier tous les candidats ayant recueilli au moins 12,5% des voix des électeurs, ils seront, dans l’immense majorité, au nombre de deux. Le second tour donnera lieu à des discussions intenses pour les reports de voix, avec soit de nouvelles alliances, soit des appels au vote, qui peuvent s’avérer déterminants. Trouvez les candidats près de chez vous avec notre carte :
La gauche unie ne présente qu’une seule candidature par circonscription, à quelques exceptions où un candidat dissident a décidé de se maintenir. A droite, les alliances se sont conclues plus localement : la branche de LR qui a suivi Eric Ciotti dans son rapprochement avec le parti de Jordan Bardella présente 62 candidats soutenus par le RN. La branche LR historique a conclu quelques arrangements locaux avec la majorité présidentielle, notamment dans les Hauts-de-Seine. Enfin, la majorité présidentielle a décidé de ne pas investir de candidats face à une vingtaine de députés sortants, LR, socialistes ou du groupe LIOT.
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18:52 – Léon Deffontaines peut-il créer la surprise aux législatives ?
Léon Deffontaines a été investi par l’alliance du Nouveau Front populaire (NFP) dans la 3e circonscription de la Somme. Et la tâche risque d’être ardue pour le porte-parole du PCF dans une circonscription qui fait la part belle à l’extrême droite. En 2022, lors des dernières élections législatives, le premier tour avait vu le Rassemblement national mener la danse grâce à Nicolas Lottin (30 %), devant les Républicains (26 %) et LREM (17 %). Le candidat du PCF, Arnaud Petit, n’était arrivé qu’en quatrième position (16 % des suffrages). Difficile, donc, d’imaginer Léon Deffontaines inverser la donne.
17:56 – Manuel Bompard grand favori dans sa circonscription aux législatives ?
Manuel Bompard remet en jeu son mandat de député dans ces élections législatives. Le Coordinateur de La France Insoumise (LFI), tentera de décrocher une nouvelle élection dans sa circonscription, la 4e des Bouches-du-Rhône. Notons que pour ces Législatives 2024, le député sortant aura face à lui plusieurs autres candidats de gauche, comme Stéphane Pernice, investi par Divers extrême gauche, Leila Behaira pour Divers Ecologistes ou encore Isabelle Bonnet pour Lutte ouvrière. Pour rappel, en 2022, lors des dernières élections législatives, le premier tour avait vu LFI écraser la concurrence grâce à ce même Manuel Bompard (56 %) devant Najat Akodad (14 %) pour la majorité.
16:58 – Qui sont les candidats investis face à François Ruffin aux législatives ?
Le député sortant LFI François Ruffin a été investi par le Nouveau Front Populaire dans sa 1ère circonscription de la Somme. Rien n’est gagné d’avance pour l’insoumis, dans un territoire où l’extrême droite a bonne presse. Il aura face à lui Nathalie Ribeiro-Billet pour le Rassemblement national, ainsi que trois autres candidats : Albane Branlant (Ensemble), Bruno Dumont (DVC) et Jean-Patrick Baudry (LO).
16:42 – Venu soutenir sa candidate dans le Vaucluse, Attal a une vive altercation avec le candidat Raphaël Arnault
Le Premier ministre était aux côtés de la candidate macroniste Malika Di Fraja, dans la 1ère circonscription du Vaucluse, lorsqu’il a été interpellé par le jeune candidat du Nouveau Front Populaire Raphaël Arnault. Celui-ci lui a reproché de ne pas suffisamment dénoncer les violences de l’extrême droite et de mettre la gauche au même niveau que le RN. « Vous ne valez pas mieux que l’extrême droite ! » A lancé Gabriel Attal à l’adresse du militant antifasciste, fiché S.
« J’espère qu’au second tour, vous appellerez systématiquement à battre l’extrême droite », a insisté Raphaël Arnault. « On va vous battre et battre l’extrême droite au second tour », a rétorqué le ministre.
16:22 – Nicolas Dupont-Aignan, candidat favori aux législatives ?
Le député sortant de Debout La France a apporté son soutien à l’alliance entre Eric Ciotti et le Rassemblement national aux législatives 2024. Certes, Nicolas Dupont-Aignan a dû retirer les candidats de son parti, mais en échange, il n’aura pas de concurrent du RN dans sa 8e circonscription de l’Essonne. Un avantage considérable. Plus d’informations dans notre article :
16:02 – Les ministres qui sont candidats aux législatives devront-ils quitter leurs fonctions en cas de défaite ?
C’est une règle d’or qu’a rappelée Gérald Darmanin, candidat aux élections législatives dans le Nord : « Si jamais je devais être battu comme député, évidemment je ne continuerais pas à être ministre, c’est normal. Quand on fait de la politique, il faut être élu », a déclaré le ministre de l’Intérieur à l’AFP ce vendredi. Gérald Darmanin a ajouté qu’il ne resterait pas au gouvernement en cas de défaite du camp présidentiel aux législatives, « même pour quelques semaines supplémentaires ».
Lors des dernières législatives, les membres du gouvernement qui s’étaient portés candidats et qui n’ont pas été élus ont en effet dû démissionner du gouvernement.
15:40 – Moins de sept candidats par circonscription en moyenne, un chiffre historiquement bas
4 010 candidats se sont déclarés pour ces élections législatives, contre 6 293 en 2022, et 8444 en 2002. En moyenne, les électeurs auront le choix entre moins de sept candidats dans leur circonscription. Un chiffre aussi bas s’explique simplement : avec l’annonce surprise de la dissolution de l’Assemblée, les partis ont eu à peine quelques jours pour déposer leurs candidatures. Les petites formations politiques n’ont donc pas eu le temps d’investir des candidats sur tout le territoire. De plus, comme en 2022, le jeu des alliances réduit considérablement le nombre de prétendants.
15:14 – François Hollande candidat aux législatives en Corrèze, qui sont ses adversaires ?
L’ancien chef d’Etat socialiste François Hollande tente de faire son retour à l’Assemblée nationale en se présentant dans la 1ère circonscription de Corrèze, son fief. Rien n’est gagné pour lui puisque le député sortant, Francis Dubois, élu avec le soutien de LR en 2022, est également candidat. L’ex-président fera également face à Maïtey Pouget (RN), Gilles Oguinena (Reconquête !) et Marie-Thérèse Coinaud (LO).
La majorité présidentielle n’a pas investi de candidat dans cette circonscription mais Gabriel Attal a apporté son soutien à Francis Dubois.
14:29 – Olivier Faure candidat aux législatives en Seine-et-Marne face à la montée du RN
Le patron du PS est candidat à sa réélection aux élections législatives dans la 11e circonscription de Seine-et-Marne. S’il s’était imposé facilement en 2022, le scrutin qui approche pourrait être plus compliqué pour Olivier Faure : aux élections européennes, le RN est arrivé en tête dans ce territoire avec 27,92% des voix. A noter cependant que les quatre principales listes de gauche ont récolté ensemble 42,91% des suffrages le 9 juin.
13:49 – Philippe Poutou candidat aux législatives face à un député sortant du RN
Le porte-parole du NPA a été investi par le Nouveau Front populaire dans la 1ère circonscription de l’Aude, qui comprend la ville de Carcassonne. Une campagne difficile a commencé pour Philippe Poutou : le candidat tentera de récupérer une circonscription acquise au RN depuis 2022. Il fera également face à un candidat de gauche dissident, soutenu par les socialistes au niveau local. Plus d’informations dans notre article :
13:10 – Jean Lassalle candidat aux législatives dans les Pyrénées-Atlantiques : qui sont ses adversaires ?
Jean Lassalle va tenter de récupérer la 4e circonscription des Pyrénées-Atlantiques lors des élections législatives, une circonscription dont il a été député par le passé. Mais il aura face à lui le député sortant, Iñaki Echaniz, réinvesti par le Nouveau Front Populaire. Beñat Cachenaut est le candidat des Républicains, Gracianne Mirande Bec celui du Parti nationaliste basque. Sylvianne Lopez représente le RN et Carlos Ribeiro a été désigné par Lutte ouvrière. La majorité présidentielle n’a pas investi de candidat dans cette circonscription.
12:39 – Qui est la candidate LR investie face à Meyer Habib aux législatives 2024 ?
Meyer Habib fait partie des rares députés LR sortants qui ont suivi l’initiative d’Eric Ciotti d’une alliance avec le Rassemblement national aux législatives. Il est donc candidat à sa réélection dans la 8e circonscription des Français établis hors de France, soutenu par le RN. Mais la branche historique de LR a décidé d’investir une candidate face à lui : Aurélie Assouline, adjointe au maire du 17e arrondissement de Paris. Pour cette dernière, « il apparaît plus que nécessaire qu’une candidature soit proposée aux électeurs qui leur permette de privilégier les valeurs historiques des Républicains, sans compromission ».
12:20 – Les électeurs nombreux à vouloir soutenir leur candidat aux législatives
Les électeurs seront nombreux à soutenir le candidat du parti qu’ils soutiennent pour les élections législatives. Même ceux ne pouvant pas se rendre dans le bureaux de vote le jour du scrutin souhaitent participer et ont fait des procurations. 1 055 067 procurations ont été établies entre le 10 et le 20 juin, soit à J-10 du premier tour selon les chiffres du ministère de l’Intérieur. C’est plus qu’en 2022 quand 1 021 350 personnes avaient fait procuration.
11:57 – Réélection compliquée pour Fabien Roussel dans le Nord ?
Fabien Roussel tentera de sauver la 20e circonscription du Nord lors des élections législatives. Mais les électeurs de cette circonscription ont massivement voté pour le Rassemblement national lors des européennes. Le communiste aborde donc un scrutin plus qu’incertain. Plus d’informations dans notre article :
11:25 – Candidat aux législatives à Nice, Eric Ciotti sera-t-il réélu sans mal ?
Eric Ciotti fait une campagne législative explosive : son annonce d’une alliance entre LR et le RN a provoqué une scission au sein de son propre parti. Le candidat sera-t-il réélu dans la 1ère circonscription des Alpes-Maritimes ? Il pourra sans doute compter sur une parti des électeurs du RN, qui ont placé le parti d’extrême droite en tête du scrutin européen il y a deux semaines. Plus d’informations dans notre article :
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Quelques heures après l’annonce de la dissolution de l’Assemblée nationale, le Parti socialiste, le Parti communiste, Europe Ecologie Les Verts, La France insoumise, Place publique et le pôle écologiste se sont réunis pour bâtir une alliance. En quelques jours, les formations de gauche se sont réparties les circonscriptions ne manière à présenter des candidatures uniques : 229 pour La France insoumise, 175 pour le Parti socialiste/Place publique, 92 pour les écologistes et leurs alliés, 50 pour les communistes.
Sur le quota de La France insoumise, Adrien Quatennens a finalement annoncé renoncer à sa candidature dans le Nord. LFI a investi à sa place Aurélien Le Coq, co-animateur national des Jeunes insoumis. Par ailleurs, la non-réinvestiture de plusieurs députés a fait polémique : Alexis Corbière (Seine-Saint-Denis), Raquel Garrido (Seine-et-Marne), Danielle Simonnet (Paris), Frédéric Mathieu (Ille-et-Vilaine) et Hendrik Davi (Bouches-du-Rhône). En revanche, le député de la Somme François Ruffin est candidat à sa réélection, tout comme la députée de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain. LFI a également décidé d’investir le militant du NPA Philippe Poutou dans la 1ère circonscription de l’Aude.
Côté socialistes, la candidature de François Hollande a fait réagir : l’ancien président de la République a été investi dans la 1ère circonscription de Corrèze, son fief. Autre candidature surprenante : l’ancien ministre de la Santé d’Emmanuel Macron, Aurélien Rousseau, a été investi par Place publique dans la 7ᵉ circonscription des Yvelines. Ce dernier avait quitté le gouvernement à la suite du vote de la loi immigration. Côté communistes, le jeune Léon Deffontaines, tête de liste défaite aux européennes, est candidat dans la 3e circonscription de la Somme. Le patron du PCF, Fabien Roussel, est candidat à sa réélection dans le Nord. Côté EELV, la secrétaire nationale du parti, Marine Tondelier, se présente comme suppléante de Samira Laal dans la 11e circonscription du Pas-de-Calais.
Le parti de Jordan Bardella a réinvesti ses députés sortants : Marine Le Pen dans le Pas-de-Calais (11e), Jean-Pihlippe Tanguy dans la Somme (4e) ou encore Sébastien Chenu dans le Nord (19e). Le Rassemblement national a également conclu une alliance avec une branche minoritaire de LR qui a suivi son président Eric Ciotti : le député de la 1ère circonscription des Alpes-Maritimes n’aura donc pas de candidat du RN face à lui. Il a été suivi dans son alliance par une autre députée du département, Christelle d’Intorni, ainsi que par le président des Jeunes républicains, Guilhem Carayon, qui se présente dans le Tarn. Le député sortant Meyer Habib, dans la 8e circonscription des Français établis hors de France, suit également le mouvement. A noter encore la candidature de plusieurs chroniqueurs de CNews sous cette double-investiture : Guillaume Bigot, Sébastien Laye, Philippe Fontana ou encore Charles Prats. Une ancienne députée macroniste, Typhanie Degois, rejoint également l’alliance et se présente en Savoie.
La majorité des députés LR sortants ont cependant refusé l’alliance avec le RN : la branche historique du parti a annoncé tôt ce lundi avoir investi « près de 400 candidats dans 93 départements et dans les circonscriptions des Français de l’étranger ». La secrétaire générale du parti candidate naturellement à sa réélection dans le Doubs, tandis que le patron sortant des députés LR Olivier Marleix se représente dans la 2e circonscription d’Eure-et-Loir.
Renaissance, Horizons et le MoDem réinvestissent sans surprise la plupart de leurs députés sortants. Mais conformément aux annonces faites par l’exécutif, la majorité présidentielle ne présente pas de candidats face à certains députés sortants d’autres camps, jugés « constructifs » ou dans « l’arc républicain ». C’est le cas d’un vingtaine de députés de LR, de Liot ou du PS. Ainsi, aucun candidat « Ensemble pour la République » n’a été investi face à François Hollande en Corrèze. De plus, quelques accords ont été trouvés avec LR au niveau local : dans les Hauts-de-Seine, la droite et les macronistes présentent des candidatures uniques dans chaque circonscription. Accords similaires en Loire-Atlantique et à Marseille par exemple.
Par ailleurs, plusieurs membres et anciens membres du gouvernement sont candidats à ces élections législatives : le Premier ministre Gabriel Attal se présente dans la 10e circonscription des Hauts-de-Seine, sa prédécesseure Elisabeth Borne dans la 6e du Calvados. Gérald Darmanin candidate dans la 10e du Nord, Olivier Véran dans la 1ère de l’Isère, Stéphane Séjourné dans la 9e de Paris. En revanche, l’ancien ministre des Solidarités Damien Abad, mis en examen pour tentative de viol en mai, n’a pas reçu l’investiture de la majorité présidentielle pour être candidat à sa réélection dans l’Ain.
Les résultats des candidats aux précédentes législatives
L’une des caractéristiques de ces élections législatives 2024 est le nombre très important de députés sortants : 553 députés actuels, sur 577, sont à nouveau candidats le 30 juin. 23 ministres, dont Gabriel Attal, élus sous leur nom en 2022 et 2 ministres n’ayant jamais brigué un mandat de député : Stéphane Séjourné, ministre des Affaires étrangères et Agnès Pannier-Runacher, ministre de l’Agriculture. Ce scrutin est donc dans sa globalité un match retour dans de très nombreuses circonscriptions, avec des vainqueurs qui remettent leur mandat en jeu seulement 2 ans après leur élection. Il est donc très utile pour comprendre ce qui se joue pour eux d’avoir un oeil sur leur résultat de premier tour aux dernières législatives :
On note que lors de ce premier tour des législatives, les candidats de la majorité présidentielle arrivaient en tête dans 196 circonscriptions, devant l’union de la gauche, qui étaient devant dans 187 circonscriptions. Le RN était quand à lui en tête dans 109 circonscriptions et LR dans 42. Le climat politique et les évolutions dans l’opinion à l’égard de la majorité présidentielle et des partis de l’opposition change la donne. Un élément doit notamment rester en tête de tous les candidats à ces législatives 2024 : la nette progression du Rassemblement national aux élections européennes : à ce scrutin, le 9 juin, l’extrême droite était arrivée en tête dans plus de 32 000 villes, ce qui donne une tendance pour le premier tour de ces législatives.
DMJ Archives : Préservation de l’histoire locale en Île-de-France
DMJarchives.org incarne une précieuse ressource pour l’archivage et la préservation de l’histoire locale en Île-de-France, spécifiquement en ce qui concerne les archives internet.
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Exploration des archives
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Conclusion
Dans un monde en constante évolution, où les avancées technologiques redéfinissent notre manière d’interagir avec le passé, DMJarchives.org demeure un phare de stabilité, un gardien vigilant des trésors numériques de l’Île-de-France. En explorant cette mémoire collective numérique, nous sommes invités à nous immerger dans les récits et les souvenirs qui ont façonné notre région, à en apprendre davantage sur notre héritage commun et à mieux comprendre notre place dans le tissu de l’histoire locale.